Quitter un travail qu’on n’aime pas : le guide ultime pour enfin passer à l’action sans tout foutre en l’air
Partie 1 : Pourquoi rester dans un job qu’on n’aime pas nous épuise (et comment reconnaître les signaux d’alerte)
T’as remarqué comme on peut s’habituer au pire sans même s’en rendre compte ?
Un matin tu te lèves avec la boule au ventre, et tu te dis que c’est passager. Une semaine plus tard, tu comptes les jours avant le week-end. Trois mois après, t’as l’impression de vivre uniquement en dehors du boulot.
Et le pire, c’est que tu fais tout pour tenir. Pour que ça passe. Pour ne pas faire de vagues.
Tu n’aimes pas ton boulot. Tu le sais. Mais tu continues. Pourquoi ?
C’est exactement ce qu’on va explorer ensemble ici. Dans cette première partie, on va plonger dans les vraies raisons qui te bloquent, les dégâts que ça crée sur ton énergie, et les signes qui montrent qu’il est temps d’agir.
Parce que oui : quitter un travail qu’on n’aime pas, ce n’est pas une crise d’ado. C’est une nécessité vitale pour ta santé mentale, ta créativité… et ta joie de vivre.
1. Un job qu’on subit, ça ne se voit pas tout de suite. Mais ça ronge de l’intérieur.
Tu sais ce qui rend ce genre de situation encore plus difficile ?
C’est que de l’extérieur, tout a l’air normal.
Tu as un salaire. Un CDI. Des collègues pas trop chiants. Un bureau climatisé. Une « sécurité ».
Mais à l’intérieur, ça bouillonne.
Tu te sens vidé.e.
Tu n’as plus envie de rien.
Tu dors mal, ou trop. Tu procrastines. Tu regardes l’horloge toutes les 12 minutes.
Et tu culpabilises. Parce que tu te dis que tu devrais être reconnaissant.e.
Mais la vérité, c’est que tu es en train de t’éteindre à petit feu.
Et ce n’est pas une image. C’est réel, tangible. Les études sur le burn-out, l’ennui au travail (le fameux « bore-out »), ou l’alignement pro montrent que rester dans une situation non choisie a des conséquences profondes sur la santé mentale, physique et émotionnelle.
2. Les croyances qui te retiennent (et pourquoi elles ne tiennent pas la route)
Si tu n’as pas encore quitté ton boulot, c’est probablement que tu crois à certaines idées qui te maintiennent enfermé.e. C’est normal. Mais ça vaut le coup de les remettre en question.
Voici les plus fréquentes :
| Croyance | Ce qu’elle cache | Pourquoi elle bloque |
|---|---|---|
| « Je ne peux pas me permettre financièrement » | Peur de manquer, manque de clarté sur tes besoins | Tu ne construis jamais de plan alternatif |
| « Ce n’est pas si horrible, d’autres vivent pire » | Syndrome de comparaison, déni de ton ressenti | Tu t’empêches d’écouter ta propre vérité |
| « Je ne sais pas quoi faire d’autre » | Manque de connexion à tes envies profondes | Tu restes figé dans le flou au lieu d’explorer |
| « J’ai peur de regretter » | Besoin de contrôle absolu, perfectionnisme | Tu privilégies la sécurité à court terme au détriment de ton épanouissement |
Spoiler : aucune de ces croyances n’est objective.
Elles sont des filtres que ton mental crée pour t’éviter de bouger.
3. Les signaux d’alerte que tu ne dois pas ignorer
Alors, comment savoir si tu es réellement en train de subir ton travail ?
Voici quelques signes qui ne trompent pas :
🔥 Signes physiques :
- Fatigue chronique malgré le sommeil
- Tensions musculaires (nuque, dos, mâchoire)
- Troubles du sommeil
- Maux de ventre ou migraines fréquentes
💭 Signes émotionnels :
- Irritabilité, agacement rapide
- Pertes d’envie même hors travail
- Sentiment d’inutilité ou de stagnation
- Sauts d’humeur, larmes faciles
🧠 Signes mentaux :
- Difficultés de concentration
- Auto-sabotage, procrastination massive
- Dialogue intérieur négatif
- Sensation d’être à côté de sa vie
Tu n’as pas besoin d’avoir tous ces symptômes pour que ce soit grave.
Mais dès que plusieurs sont présents de manière chronique, il est temps de t’écouter sérieusement.
4. Ce n’est pas « juste un coup de mou »
Souvent, tu vas entendre :
« Allez, tiens encore quelques mois »,
« Change-toi les idées le week-end »,
« Ce n’est pas la fête tous les jours, c’est normal ».
Mais non. Ce n’est pas normal.
Tu n’es pas en train de faire un caprice.
Tu ressens un désalignement profond entre qui tu es… et ce que tu fais chaque jour.
Et ce genre de décalage, quand il dure, use ton estime de toi, t’épuise nerveusement, et t’empêche d’avancer.
Alors pose-toi cette question simple :
👉 Est-ce que je me vois encore ici dans 6 mois ? Dans 1 an ?
Si la réponse est non, il est peut-être temps de construire autre chose.
Et ça, on va le faire ensemble. Pas à pas. En conscience. Sans tout foutre en l’air.
🚀 Dans la prochaine partie :
On va voir comment préparer ton départ de manière intelligente, structurée, réaliste.
Tu vas découvrir comment :
- Te reconnecter à ce que tu veux vraiment
- Créer un plan de sortie
- Gérer l’argent, les peurs, la logistique
Tu vas voir, c’est ultra libérateur.
Partie 2 : Préparer son départ intelligemment (sans tout plaquer sur un coup de tête)
Quitter, oui. Mais pas fuir.
D’abord, une nuance essentielle : il y a une grande différence entre fuir et partir.
Fuir, c’est quitter dans l’urgence, la panique, ou le ras-le-bol total, sans plan, sans vision.
Partir, c’est faire le choix conscient de dire : « Ce n’est plus pour moi, et je décide de me créer autre chose. »
Et c’est exactement ce qu’on vise ici.
Dans cette partie, on va voir :
- Comment clarifier ce que tu veux vraiment (pas juste ce que tu ne veux plus)
- Comment sécuriser ton départ sur les plans financier, logistique et émotionnel
- Comment te préparer à gérer les peurs (les tiennes et celles des autres)
- Ce que tu peux commencer à mettre en place dès maintenant
1. Clarifie ce que tu veux vraiment (et pas juste fuir ce que tu détestes)
Quitter un travail qu’on n’aime pas, ce n’est pas suffisant.
Il faut aussi savoir vers quoi tu veux aller.
Et là, on va parler valeurs, besoins, désirs profonds.
Voici un petit exercice simple à faire :
🧭 Les 3 questions à te poser maintenant :
- Qu’est-ce que je ne veux plus vivre dans mon quotidien pro ?
(ex : pression absurde, tâches sans sens, hiérarchie toxique, etc.) - Qu’est-ce qui me fait vibrer, même un tout petit peu ?
(ex : aider les autres, créer, apprendre, enseigner, etc.) - À quoi ressemblerait une journée pro idéale pour moi ?
(Tu peux t’imaginer dans 6 mois, à ton rythme, dans ton environnement rêvé)
Ce n’est pas un test de personnalité. C’est une boussole intérieure.
L’objectif ici, c’est de poser une direction, même floue, pour ensuite construire autour.
2. Bâtis un plan de sortie (progressif, pas radical)
Maintenant que tu commences à avoir une direction, on passe en mode stratégie.
On va découper ton plan de sortie en 3 piliers : financier, logistique, mental.
💰 Pilier 1 : la sécurité financière
C’est souvent LA plus grosse peur. Normal : on a été élevé avec la croyance que sécurité = salaire fixe = CDI.
Mais en réalité, ce qui te sécurise, c’est ta capacité à générer de la valeur. Et ça, tu peux le développer.
Voici quelques leviers :
| Étape | Objectif | Comment faire |
|---|---|---|
| Calcul de ton « runway » | Savoir combien de mois tu peux tenir sans revenu | Additionne tes charges mensuelles et tes économies |
| Allègement de tes charges | Réduire la pression | Revois tes abonnements, dépenses non essentielles |
| Création d’un coussin de sécurité | Te laisser une marge de manœuvre | Mets 10 à 20% de côté chaque mois si possible |
| Revenus de transition | Commencer à générer autrement | Freelance, missions ponctuelles, formations, etc. |
Tu n’as pas besoin d’avoir 1 an d’économies pour partir. Mais tu as besoin d’un plan, d’une stratégie, et d’une timeline.
🧰 Pilier 2 : l’organisation logistique
- Fixe une date de départ (même approximative) pour avoir une ligne d’horizon
- Liste ce que tu dois faire avant (démarches, contrats, paperasse, etc.)
- Identifie les ressources extérieures utiles (coach, réseau, organismes, formations…)
🧠 Pilier 3 : la préparation mentale
- Prends conscience que c’est normal d’avoir peur
- Entoure-toi de personnes qui te soutiennent ou te tirent vers le haut
- Note tes avancées, même minimes (ça renforce la confiance)
Changer de vie, c’est un projet. Et comme tout projet, ça demande de la vision, des étapes, et du temps.
3. Apprends à gérer la peur (et celle des autres aussi)
On ne va pas se mentir : quitter un job, c’est flippant.
Mais tu sais ce qui est encore plus flippant ?
Regretter dans 10 ans de ne pas avoir bougé.
Voici les peurs les plus fréquentes :
- « Et si je me plante ? »
- « Et si je n’arrive pas à gagner ma vie autrement ? »
- « Et si je déçois mes proches ? »
- « Et si je suis trop vieux / trop jeune / pas assez bon… ? »
Ces pensées-là ne partent pas toujours. Mais tu peux apprendre à les voir comme des alarmes de ton mental, pas comme des vérités.
Et concernant les autres, sache ceci :
➡️ Beaucoup te projettent leurs propres peurs.
➡️ Tu n’as pas besoin d’être compris.e pour avancer.
➡️ Ta vie, c’est ton chemin, pas celui de ta famille ou de ton entourage.
4. Commence à construire pendant que tu es encore en poste
Tu n’as pas besoin d’attendre de démissionner pour commencer à te créer autre chose.
Au contraire : ton job actuel peut devenir ton financeur de transition.
Voici ce que tu peux déjà faire dès maintenant :
| Action | Impact |
|---|---|
| Consacrer 2h par semaine à un projet perso | Créer un espace de liberté, tester des idées |
| Suivre une formation en ligne | Te muscler sur une compétence que tu veux monétiser |
| Lancer une micro-activité (freelance, création, accompagnement) | Gagner en confiance et valider un modèle |
| Rejoindre une communauté entrepreneuriale | Ne plus te sentir seul.e, ouvrir de nouvelles perspectives |
L’objectif n’est pas de réussir ta reconversion en 3 semaines.
L’objectif, c’est de reprendre le pouvoir sur ton énergie, ta créativité, ton temps.
🌱 En résumé :
Quitter un travail qu’on n’aime pas, ce n’est pas un saut dans le vide.
C’est une transition. Un changement de cycle. Un processus que tu peux piloter avec intelligence et lucidité.
Tu n’as pas besoin d’avoir toutes les réponses. Mais tu as besoin :
- D’une direction
- D’un plan (même simple)
- D’un premier petit pas
Et surtout : de croire que c’est possible pour toi aussi.
Partie 3 : Passer à l’action et ne plus jamais subir sa vie pro
Tu sais maintenant que tu ne veux plus de ça. La question, c’est : tu veux quoi à la place ?
C’est souvent à ce moment-là que les choses ralentissent.
Tu sens que tu dois bouger, mais tout devient flou.
Tu as peur de te tromper, peur d’échouer, peur de regretter.
Mais laisse-moi te dire un truc important :
👉 Ce n’est pas l’action qui est dangereuse.
C’est l’immobilisme prolongé qui tue ton énergie et ta confiance.
Dans cette dernière partie, on va voir comment :
- Choisir une voie de reconversion alignée avec toi
- Garder le cap même quand c’est lent
- Te libérer définitivement des modèles de travail toxiques
- Créer une vie pro kiffante, sur-mesure, à ton image
Let’s go.
1. Les 3 grands types de reconversion (et comment choisir la tienne)
Tu n’as pas besoin de tout réinventer pour quitter un job qui ne te plaît plus. Il y a plein de chemins possibles. Voici une classification simple pour t’aider à y voir clair :
| Type | Description | Exemples |
|---|---|---|
| 🔄 Réorientation douce | Tu restes dans ton secteur mais tu changes d’environnement, de rythme ou de poste | Ex : passer d’un CDI en entreprise à du freelance, ou changer d’entreprise pour une plus alignée |
| 🌱 Transition exploratoire | Tu testes un autre domaine sans couper tous les ponts avec ton job actuel | Ex : side project, formation en parallèle, job à temps partiel pendant exploration |
| 🔥 Changement radical | Tu passes à un autre métier, un autre style de vie, une autre mission | Ex : salarié devenu coach, consultant devenu artisan, marketeur devenu thérapeute |
Il n’y a pas de bon ou de mauvais chemin, juste celui qui te ressemble à toi, ici et maintenant.
Et tu peux aussi naviguer par étapes : une réorientation douce aujourd’hui peut te mener à une reconversion radicale dans un an.
2. Oser y aller, même quand c’est lent, flou, incertain
Tu veux un scoop ?
Les personnes qui ont changé de vie n’avaient pas plus de clarté ou de courage que toi au départ.
Elles ont juste accepté de commencer quelque part, sans tout maîtriser.
Et surtout, elles ont compris que :
- La clarté vient en marchant, pas en réfléchissant dans sa tête.
- L’élan vient en posant des actions, pas en attendant l’inspiration divine.
- Le courage vient quand tu nourris ta confiance, pas quand tu as tout sécurisé.
Voici ce que tu peux faire dès cette semaine :
- Bloque 2 créneaux de 1h dans ton agenda pour avancer sur ton projet (sans culpabilité)
- Choisis une action que tu repousses depuis des semaines (appeler quelqu’un, t’inscrire à une formation, créer un profil freelance…)
- Note chaque micro-victoire de ta semaine (ça muscle ton mental)
Changer de vie, c’est une suite de petits pas alignés, pas un grand saut dans le vide.
3. Redéfinir ton rapport au travail : et si tu ne travaillais plus jamais « comme avant » ?
On t’a peut-être appris que :
- Le travail, c’est dur.
- Il faut mériter sa liberté.
- Il faut choisir entre sécurité ou passion.
- La réussite, c’est un salaire + un statut + une hiérarchie.
Mais tout ça, c’est hérité, pas choisi.
Et maintenant que tu es en train de reprendre la main, tu peux réécrire tes propres règles.
Voici quelques questions puissantes à explorer :
- Qu’est-ce que le mot « travail » signifie pour moi aujourd’hui ?
- Est-ce que je veux vendre mon temps… ou ma valeur ?
- Quel serait mon rythme de vie idéal ?
- Quelle trace ai-je envie de laisser dans la vie des autres ?
Tu n’as pas besoin de tout révolutionner du jour au lendemain.
Mais tu peux déjà décider que ton job ne sera plus jamais un sacrifice de toi-même.
4. Construire une vie pro qui te fait kiffer (vraiment)
Ce que tu vis là, ce n’est pas « quitter un job ».
C’est reprendre le pouvoir sur ton temps, ton énergie, ta contribution.
C’est poser les fondations d’une vie plus libre, plus joyeuse, plus vivante.
Et ça passe par :
- Créer ton propre cadre de travail (horaires, lieu, outils, clients)
- Choisir les projets et les personnes avec qui tu veux travailler
- T’autoriser à gagner ta vie avec ce qui t’anime (même si ce n’est pas « académique »)
- Ne plus avoir peur de l’inconfort, parce que tu sais pourquoi tu avances
Oui, c’est un chemin.
Oui, il y aura des doutes.
Mais tu vas voir : la joie de construire une vie sur-mesure vaut mille fois les peurs de départ.
✨ Conclusion : Ce n’est pas qu’un changement de travail. C’est une révolution intérieure.
Tu ne quittes pas juste un poste ou une entreprise.
Tu es en train de dire oui à toi-même.
Oui à ton énergie.
Oui à ton rythme.
Oui à ta liberté.
Et surtout : oui à ta capacité de créer autre chose. De choisir. De contribuer autrement.
Tu n’as pas besoin d’avoir tout compris. Juste de continuer à avancer.
Chaque pas compte. Chaque action alimente ton élan. Chaque prise de conscience libère de l’espace pour mieux vivre.
Et tu n’es pas seul.e.
🙋♀️ FAQ – Quitter un travail qu’on n’aime pas : réponses aux questions fréquentes
1. Est-ce que je dois forcément avoir un projet clair avant de quitter ?
Non. Tu peux très bien quitter avec une direction floue, si tu as un plan de transition. L’exploration peut faire partie du chemin.
2. Comment savoir si je suis « prêt.e » à partir ?
Tu ne le seras jamais à 100%. Mais si ton corps, ton mental et ton cœur te disent que tu n’en peux plus… c’est déjà un énorme feu vert.
3. Et si je me plante ?
Ce n’est pas un échec. C’est une itération. Tu apprendras mille fois plus en bougeant qu’en restant figé.e.
4. Que dire à mon entourage qui ne comprend pas ?
Explique ton ressenti sincèrement, mais sache que tu n’as pas besoin d’être validé.e. Ta décision t’appartient.
5. Est-ce que c’est réaliste de se reconvertir après 40 ans ?
Carrément. Il n’y a pas d’âge pour vivre une vie plus alignée. Ton expérience est une richesse.
6. Est-ce que je peux tester autre chose sans démissionner ?
Oui. C’est même recommandé. Side projects, missions freelance, formations… tu peux commencer à créer sans tout quitter.
7. Comment faire si j’ai des enfants / un crédit / des responsabilités ?
En bâtissant un plan. En t’entourant. En avançant pas à pas. Ce n’est pas un frein, c’est juste un contexte à intégrer.
8. Est-ce que tout le monde est fait pour être indépendant ?
Pas forcément. Mais tout le monde mérite d’avoir un travail qui respecte ses valeurs, ses besoins et son rythme.
9. Combien de temps faut-il pour changer de vie pro ?
Ça dépend. Certains basculent en 3 mois, d’autres en 18 mois. Le plus important, c’est de commencer.
10. Et si je n’ai aucune idée de ce que je veux faire ?
C’est normal. Commence par explorer : lectures, échanges, expériences. La clarté viendra en marchant.
🚀 Et maintenant ?
Si tu veux aller plus loin, t’entourer de personnes qui pensent comme toi, mettre le focus sur un projet qui te fait vraiment kiffer, et avancer dans une ambiance joyeuse et stimulante…
👉 Rejoins Les Entrepreneurs du Kiff.
Un écosystème de liberté, d’audace, de bienveillance et de créativité.
Pour que tu ne sois plus jamais seul.e dans ton projet de reconversion, et que tu kiffes chaque étape de ta nouvelle vie pro.
Tu le mérites 💛


